Il existe de multiples écologies politiques, il n’existe pas un biorégionalisme unifié, mais il y a des biorégionalismes de droite, d’extrême droite, du centre et de gauche et d’extrême droite. Mathias Rollot considère qu’on peut observer aussi des biorégionalistes antispécistes, antiracistes, anticapitalistes, antidéterministes et antinationalistes[1]. Jonathan Olsen fait remarquer que ce qui différencie le biorégionalisme de gauche, de celui d’extrême droite, c’est qu’il se préoccupent de la dimension démocratique, qu’il n’associe pas les communautés biorégionales aux Etats existants et qu’il ne s’avère pas anti-immigration. Lire la suite
Auteur/autrice : Thierry Brugvin
La crise du Covid générera-t-elle plus de relocalisation ou de délocalisation ?
La relocalisation néolibérale consiste surtout dans l’indépendance par la diversification des sources matinée d’un petit peu de protectionnisme. Mais les entreprises vont être tenter de délocaliser pour accroitre leurs profits perdues. Lire la suite
Les associations antinucléaires, instrumentalisées par les pétroliers ?
Par Thierry Brugvin
La catastrophe nucléaire de Fukushima, nous rappelle que le nucléaire est dangereux non seulement pour les populations, mais aussi pour les transnationales du pétrole. Depuis les années 1970, elles ont donc tenté d’instrumentaliser certaines associations écologistes anti-nucléaires, pour servir leurs intérêts de producteur de pétrole. Lire la suite